La maquette et le petit format : « laisser de l’incomplétude à l’oeuvre ».

«Entendre ce que l’on voit ou l’écoute en perspectives.
Préambule
La maquette est une proposition ténue,
plus qu’une démonstration massive.
Une espèce de : « pas-tout ».
Des fragments rassemblés pour une partition polysémique       
pouvant se lire, se dire, se taire.
Un éventail de citations, posées à l’autre point cardinal des classifications norme Afnor territoriale
ou du nuancier Ral universel :
elle fait concorde avec les singuliers-pluriels et vice versa».

A quoi ça tient ? Autour d’une oeuvre ou les cercles concentriques: à propos de Nicolas de Staël (1914-1955).

«A quoi ça tient» ? questionne l’adage.




A quoi ça tient qu’une œuvre nous retourne, une fois déjà à la rencontre,
et puis, à chaque fois de la retrouvaille.
A quoi ça tient qu’une autre ne parvienne pas à se faire entendre de notre attention,
ou encore qu’elle crée ennui, désolation, détournement ou infortune.
Émission / Réception : au cœur de l’exposition : on est deux,
voire trois : l’œuvre, l’artiste et soi. 
Dialogues.
S’instaure dès lors, une sorte de face à face entre découverte et discernement.
Une sorte d’entre les lignes : le domaine des Nuances,
Une sorte de « mi-dire » peut-être bien.